mercredi 15 octobre 2008

Excuses.

Je tiens à m'excuser auprès de mon lectorat choqué par mon allusive phrase qui clôturait joyeusement mon billet d'hier, dans les commentaires.
Si vous ne remettez pas, la voici :
"Kissous lectorat, ce qui revient à dire Kissous Stu."
JE VOULAIS DIRE PAR LA QUE, A PART LE SUSDIT STU (que Dieu le bénisse jusqu'à la millième génération -je suis sur PANAM à partir de vendredi 24 jusqu'à dimanche ou lundi sûr, dis moi stu (ahah) veux qu'on se voiiiiiit-), PERSONNE NE PONCTUAIT MES ARTICLOUNETS DE DELICIEUSE PROSE COMMENTARIALE, mhvoyez ?
Et vu que j'ai pas d'outils statistique genre google analytics, enfin j'ai bien essayé mais ça n'a pas marchay, j'ignore à quel point je suis lu. PAS QUE CA ME DEFRISE, M'ENFIN BON C'EST PAS UN JOURNAL INTIME ICI HEIN HOHO HEIN HOHO.

BREF, voilà, c'était tout.

Je vais donc devoir reformuler ma phrase, après les quelques plaintes et vexage du lectoranonyme.


Kissous lectorat qui me commente régulièrement et honore mes billets de sa divine prose. Ce qui revient à dire Kissous Stu.


(Demain promis un billet construit avec peut être de la philosophie ou de la SNCF de merde dedans. Mais qui a dit que les deux n'étaient pas étroitement liés au fait ?)



3 commentaires:

Stu a dit…

Oh oui bénis moi encore \o/
OWIOWI.

Anonyme a dit…

Bravo, tu a (presque) (enfin) réalisé que lectrice passionnée ne rime pas avec critique débridée (prends pas la grosse tête, passionnée c'était pour la rime).
A l'heure ou je técris je reste indécise devant la douloureuse question : cours d'informatique (avec alglais en option) avec DuDuch ou ballade matinale sur ta prose. Je ne dirai pas que le choix est dur : tu serai vexé. Mais bon ...

Anonyme a dit…

Je me force littéralement à pas te laisser de commentaire, du genre je sers les dents, je transpire du front, ma main se raidit, mes yeux se révulsent, je suis tellement belle pendant ce laps de temps. Nan mais toi tu pourrais devenir "débateur professionnel" ce que tu dis s'envole pas dans le vide, nan, you push people's button, et on a envie de te répondre "ooh comme tu as raison" ou "ooh comme tu as tort" pas "ah ouais c cool ce que tu dis, je vois, je vois ouais, d'accord, moi ché pas, je crois que je pense comme toi, mais desfois non, tu comprends quoi, enifn t'as sûrement raison, on se tape un mcdo?"
T'es un esprit en ebullition,comme tout le monde, sauf que tu l'exposes. *Clap Clap* Bwavo missieu Piewe, quel couwage !

 
LP