mardi 30 décembre 2008

On fait le bilan, calmement, on sonne les morts à chaque instant, on sraconte les vieilles histoires d'avant comme si on avait 50 ans...

Salut mes ptits loups ! Ah que dire, que dire ? Vous allez bien sûr me reprocher cette si longue absence qui a dû vous faire vous sentir bien seul dans ce monde de brute où poésie rime souvent avec sodomie et amour avec Darfour.

ATTENTION, GRAND JEU DE L'HIVER : SAURAS TU RETROUVER LES LIENS DE CAUSALITES ENTRE CES QUATRE TERMES ? SI TU TROUVES LA BONNE REPONSE, TU GAGNES !

En effet, plus de deux semaines ont passé depuis ma dernière brêve, et il serait faux de dire que je n'ai pas eu une minute à vous consacrer, étant en vacances depuis un bout de temps. Oui mais voilà, parfois la vie nous réserve des surprises. Certaines bonnes. D'autres moins. Certaines qui ne vous laissent pas le temps de réfléchir, de penser, d'exister. La mort d'un proche fait partie de ces "surprises" qui coupe court à toute envie, toute imagination, toute volonté de créer, du moins pour une période temporaire, qui laisse place à cette terre fertile d'un champ de tristesse sourde d'où pousse parfois les plus belles choses...

Mais ce n'est absolument pas ce qui m'a retenu, non non, simplement une bonne grosse flemme amorphe. Mais, alors que le mois de Décembre se meurt à petit feu, entraînant dans son agonie lente et sucrée l'année 2008, il me paraissait inconcevable, sinon dommage de ne pas vous faire un dernier adieu. La magnanité m'étouffe. Je ne sais surtout pas l'écrire.

La barre est haute car ce billet, en plus d'être un billet qui s'est fait attendre par trois clampins perdus, est un billet qui clôt une année riche en émotions.

Alors, que dire ?
Devrais-je faire une rétrospective rigolote et instructive de tout ce qui s'est passé cette année alors que vous pouvez regarder La Nuit du Zapping sur Youtube ?

Devrais-je vous donner mon avis sur les futurs tendances de l'année 2009 : ce qu'il faut écouter, ce qu'il faut voir, ce dont il faut parler ? Vous trouverez ça dans n'importe quel torchon diarhéique plus ou moins pseudo-journalistique, bloguesque ou non, dont la seule vertu réside en son ineptie chronophage. MAIS N'EST CE PAS LA FIN DE TOUT UN CHACUN QUAND IL EST 20 HEURES 47 ?

Devrais-je donner mon avis sur les dernières actualités de ces dernières semaines alors que la propagande anxiogène des journaux de 20 heures, surtout TF1 HAHAHAHAHAHA, le fait avec une telle maestria, que dis-je, un tel brio, qu'à l'aune de ceux-ci n'importe quelle tentative de subjectivité journalistique paraît dérisoire ? (je vous jure, écoutez le post-générique, la musique de fond qui accompagne les gros titres au début : c'est flippant) Et puis bon, ça commence à être redondant entre les bavures hospitalières (non c'est vrai, l'erreur médicale (BEBE MORT HAHAHA BEBE MORT), et les sinistres des milieux du soin (6 HEURES D'AGONIE HAHAHAHA) tant médicaux que psychiatrique (AHAHAHA LE SCHIZOPHRENE VIOLENT S'EST ECHAPPE DE SA FAUSSE PRISON OU L'ON L'A MIS PARCE QU'ON NE SAIT PLUS QUOI EN FAIRE AHAHA), c'est du vu et du revu, un peu d'inventivité merde quoi on commence à s'ennuyer. Et puis bon, les grandes fraudes économiques sont presques coulantes en ce temps de multi-crises lupestres OUAIS, LUPESTRES LA METAPHORE EST BIEN CHOISIE TOUT COMME LE PSEUDO NEOLOGISME. Mauvais timing.

Devrais-je adresser un message de paix, d'amour, d'espoir et de tolérance au monde entier et surtout aux pervers incestueux qui se promènent le chibre en main dans mon blog en tapant des trucs genre "baise annale petite fille grand père chauve lubrique pendant qu'elle dort en chantant", pour condenser ? Benoit XVI le fait déjà très bien, et qui, plus que lui, a autant de légitimité pour s'adresser aux pervers incestueux dont le poids de l'âge pèse sur la libidineuse tension d'un désir innassouvi et ce à jamais ? (encore que j'ai des adresses) Personne, à proprement parler.

Non, je ne vais rien dire, rien faire, rien célébrer, c'est beaucoup plus sûr comme ça.


Je préfère vous parler de Francis Lalanne :



Lalanne ? Parce qu'il le vaut bien.

Ma résolution de 2009 : Entamer une collection de vinyles kitsch.


Je vous embrasse, et vous dis - GROS CLIN D'OEIL- à l'année prochaine. Mmmprft.

vendredi 12 décembre 2008

Le Hang Drum

Je ne sais pas si vous connaissez cette curiosité instrumentale qu'est le Hang Drum. Sorti en Suisse il y a 8 ans je crois, fruit de 25 ans d'expériences pour donner cette caisse de résonnance parfaite... Bref, regardez, c'est assez envoûtant.





Pour en savoir plus : http://www.hangdrum.com/

mercredi 10 décembre 2008

Les déguisements, c'est bien.

Grand jeu de la semaine : sauras-tu retrouver en quoi s'est déguisé ce freak achalandé ? Attention, il y a un piège ! Le premier qui trouve tous les animaux gagne le meilleur tuyau pour se faire pleins de fric sur le net ! Attention, il y a un piège !









(merci à Comicsansms pour les images)

mardi 9 décembre 2008

Nicolas Sarkozy est impuissant.

Salut les petits amis, cette semaine je vous ai concocté une playlist de ce que j'écoute en boucle en Décembre ou ce qui m'a particulièrement marqué, vous y trouverez :

Tarantula, de Pendulum, de la bonne grosse Drum n Bass bien électro un peu crado qui fout bien la pêche, à écouter avec moult basse et en shakant son body

Chinese Democracy, des Gun's n Roses : tiré de l'album éponyme du retour des Guns après 14 ans d'absence. Je ne connais absoluement rien aux GNR, à part Knocking on heaven's door, mais cette chanson arrache tout je trouve. Le reste de l'album est coulant.

Code 1026, d'Agoria : morceau phare du DJ Lyonnais Agoria, j'aurais préféré vous mettre "Dust", une chanson magnifique et plus accessible, mais elle est introuvable et cette techno envoûtante et tourbillonante saura vous faire gerber/kiffer. Il réalise la bande-son de "Go Fast", une production Besson avec Roschdy Zem dont personne ne parle.

DLZ, de Tv on the radio : j'en ai déjà parlé ya quelques semaines. Un petit bijou groovy et ultra sexy.

I've got that tune, de Chinese Man : Chinese Man c'est du nu-jazz, c'est à dire un truc inqualifiable entre électro/jazz/hip-hop/funk/soul. Ca envoie tout. Dans le genre Lyre le Temps ou Belleruche.

We Are your Friend, du dernier live de Justice : tiré du dernier live sorti il y a peu enregistré non pas à la console mais en plein milieu du public. Juste ultime, bientôt dans les CDs du moment. Surtout les dernières 50 secondes.

Navigator, de Bauchklang : c'est des Autrichiens je crois. Ca envoie sec, ça pulse et tout. C'est surtout du beat-box intégral. Pas d'instrus quoi, tout est fait avec la bouche. Impressionant, et d'après l'avis de quelqu'un qui les a vu en concert, c'est pas mixé...

Data.microhelix, de Ryoji Ikeda : comment dire ? C'est pas vraiment écoutable, c'est une curiosité musicale. Ce mec est un Japonais qui fait de l'électro et qui s'intéresse plus spécialement aux microfréquences, enfin ces espèces de trucs chelous. Mix éléctroacoustiques, à au moins découvrir, pour savoir que ça existe.

Hajnal, de Venetian Snares : du Classic-Jazz-core, du moins cette chanson. C'est pas dit que vous allez supporter mais c'est très beau. C'est très classe.

Gravity's rainbow, des Klaxons, remixé par Soulwax : un tube pour les bitchs en shortys moulants fluos assez irrésistible et sexy (la chanson, pas les bitchs). C'est assez vieux me direz-vous, mais c'est à propos puisque Soulwax sort un DVD live rigolo et bien foutu : Part of the week-end never dies.

Find me in the world, de DSL : le "tube" des trublions de DSL, issu du crew/label plus connu pour son énorme prétention que pour ses talents musicaux. Du bon gros hip-hop d'aujourd'hui bien électro. Un melon incroyable et assez insupportable sur scène par contre.


Sinon, vous aurez également remarqué le générateur aléatoire de sous-titres rigolos que Stu (L) m'a gentiment installé dans sa mansuétude qu'il a épaisse. Kissous à toi. Si vous avez des suggestions, mettez les en commentaires...



Enfin, petit bijou de montage débilement drôle et bien foutu sur notre Président :







samedi 6 décembre 2008

"Lorie est une grosse salope. Elle aime la sodomie."

Ouaaaah je suis en pleine fascination et découvertes de deux blogs-sites outrancièrement outrancier et outrageusement rigolo et débiles.




Aaaah la police du Comis Sans MS, qui ne l'a jamais utilisée lors de ses vagues travaux de groupes collégiens copiés/collés sur une quelconque page perso "wanadoo" ou "lycos" au design moche et binaire parce que Wikipédia n'existait pas encore à l'époque ou alors c'était encore un peu cheap tu vois et que tu foutais tout en ComicSansMS parce que tu te disais que c'était vraiment kiffant comme police d'écriture et que tant que ya la forme pas besoin de fond. Ici c'est pareil. Pas vraiment besoin de description : tout ce qui se fait de plus licencieux, tendancieux et crétin. De toute façon un blog qui fait des analyses pornographiques détaillées des chansons de Lorie est forcément un bon blog. Un blog qu'il est crade et inutile.








J'ai directement pompé le lien sur le premier truc. J'ai rien compris au truc, ç'a m'a tout l'air d'être un webzine touche à tout issu d'un vrai magazine papier qu'on doit seulement trouver dans des boutiques chelou du 8ème tenues par des mecs qui s'appellent Joe-Etienne et qui vont à des concerts de musique expérimentale/electroacoustique dans des lieux tenus secrets où on peut également y boire du sang de mouton coupé à une drogue japonaise qui booste les neurones des ados sous pression, avec une forte propension à parler mal de la bouche et à fucker les convenances avec une morgue et ironie si caractéristique de cette génération désenchantée qui hante nos repas de familles. Je sais pas mais moi j'ai kiffé parce qu'ils crachent sur Michel Sardou qu'ils parlent de groupes de musique top underground comme des black-métalleux Laponais en mode revival 80's mais aussi d'un japonais qui fait encore du porno à 74 ans. Crade mais intéressant ceci dit. Mais bien crade quand même. En même temps/Et pourtant c'est canadien.






Je me tâte à continuer dans le crade et licencieux en continuant par exemple sur la lancée vaguement crade et cynique du blog qui pourrait par exemple faire un brêve sur cette "grosse pute" de Rachida Dati, dans la rubrique "La connerie du gouvernement du moment", dixit l'informaticien qui avait créé une adresse mail "rachida-la-grosse-pute@wanadoo.fr" avant de bombarder la mairie de son arrondissement de mails crades et diffamatoires comme par exemple "Le peuple aura ta peau" agrémenté de quelques commentaires racistes et/ou misogynes je crois je suis pas sûr.

Je crois qu'il n'a pas encore pris de peine ou que ce truc n'a pas été jugé ou qu'il a été relaxé. Mais pourquoi donc ? Ce que ne nous dirait pas Madame Dati c'est que l'informaticien en question était un stagiaire de troisième précoce agé de 12 ans qui a déliré pendant son stage obligatoire de 3 jours dans une entreprise qui fabrique des serviettes-éponges alors que sa tutrice avait lâché sa surveillance réglementaire, occupé à je ne sais quel harcelage ou commerce sexuel comme la secretaire vénale qu'elle est. C'est pourquoi Rachida se serait montre favorable à l'abaissement de la responsabilité pénale à 12 ans pour mieux pouvoir niquer cette petite crotte orduro-putassière et faire les pieds au petits jeunes des rues en général. Allant ainsi dans le sens de Nicolas Sarkozy qui déclarait il n'y a pas si longtemps que l'instituteur ne pourrait jamais transmettre de manière convenable les valeurs du Bien et du Mal à nos têtes blondes ce qu'une incarcération paraîtrait mieux à même de faire.

Rapellons néanmoins que l'âge de la responsabilité pénale en France est de 13 ans, de 7 ans en Suisse, de 10 ans en Angleterre et de 14 ans en Allemagne ou en Espagne et que la norme recommandée par l'ONU est de 12 ans. Un pas de plus vers une atmosphère plus ou moins liberticide qui sent la naphtaline et les valeurs traditionnelles qui vont/font appel dans/au "bon sens".

Pour finir sur la corde "dans le gouvernement ils sont vraiment pas fins", cette charmante vidéo pompée sur le blog de Stu :




Une initiative de plus du gouvernement pour les mineurs. C'est beau la démagogie et les skins et les putes et les pédophiles relativement propres sur eux.

"Tu en as un joli lapin, viens, je vais t'en montrer un vrai."





jeudi 4 décembre 2008

Réflexion sur le rôle de l'interprête.

L'autre jour j'ai assisté à une conférence donnée à mon université par Shirin Ebadi, prix Nobel de la paix 2003 - ouais je sais la classe -, qui nous parlait de son engagement, de sa lutte pour le respect des droits de femmes partout dans le monde et en particulier dans son pays, l'Iran.
Réflexion intéressante, quoique parfois teinté d'un féminisme primaire mais le but n'est pas ici de faire un résumé de la pensée de Shirin Ebadi. Il est tout autre.
Shirin Ebadi est donc Iranienne, et elle ne parle apparemment pas français, et ni l'anglais assez bien pour assurer une conférence dans cette langue. D'où la nécessité du recours à une interprête qui traduisait directement et en différé les propos iraniens de Shirin Ebadi, assise à côté d'elle, en français.
Après la conférence, et en y repensant, le rôle de l'interprête, ou plutôt son non-rôle, à travers sa fonction même, m'a questionné. En effet : pourquoi présente-t-on la personne qui va parler et présenter son propos, et pas celle qui va le traduire, phase au moins aussi nécessaire puisque l'acte de parole est toujours un échange ?


C'est comme si l'on considérait que la personne qui propage ses idées était plus importante que celle qui les fait comprendre. Alors que l'on peut s'interroger sur l'utilité d'idées qui flotteraient en l'air sans que personne ne puissent les saisir, du fait de la barrière de la langue, ou du fait de la difficulté du propos.
C'est pourquoi il est intéressant de réfléchir quelque peu sur la place de l'interprète. On appelle d'ailleurs interprète celui qui traduit les propos d'une langue en une autre, ou celui qui explique, réexplique la pensée d'un auteur selon un axe, une thématique (on parle d'interprète de Freud, de Lacan, de Hugo, de Shakespeare...). A la différence près que dans le cadre de l'interprète d'Hugo, c'est la parole de l'interprète que l'on va écouter, pas celle de Victor Hugo. Cela est différent dans le cadre d'une conférence et d'une traduction simultanée.

Alors même que l'on ne comprend pas le langage tenu (ici l'iranien, et je vous assure que l'on ne comprend pas), on regarde la personne parler. A l'inverse, lorsque l'interprête parle, ce n'est pas elle que l'on regarde, c'est l'autre personne, ou c'est la feuille sur laquelle on écrit, l'écran sur lequel on tape. Pire encore, en écoutant l'interprête parler, on a l'impression d'écouter l'autre personne parler dans la mesure ou elle transcrit ses mots, donc en la regardant, c'est l'autre que l'on regarde.

L'interprète abolit donc totalement sa subjectivité, laissant place à son rôle d'intermédiaire entre l'intersubjectivité (ouh un mot compliqué) qui se joue entre le maître de conférence et les auditeurs.
Illustration parfaite de l'abolition de sa condition de sujet pensant et conscient, quand l'interprète parle et dis "je", ce n'est pas de son "je" qu'il s'agit, mais du "je" de l'autre : elle met de côté son "moi", elle intériorise le "moi" de l'autre par la parole.
Certes, cela est nécessairement requis par son métier, c'est un acte professionnel, mais quel autre métier demande un telle abolition de sa condition de sujet pensant ? A ma connaissance, aucun. Pourquoi la place de l'interprète est-elle visualisée comme insignifiante ?

Lorsque l'interprète est radiophonique et qu'il traduit en même temps que la personne parle, il est alors plus traducteur qu'interprête, et l'absence de représentation matérielle de cet interprète justifie son effacement au profit de celui qu'il traduit. Mais dans le cadre où cette personne est en chair et en os, devant nous, que le son de sa voix fait sens dans nos esprits, alors pourquoi s'obstine-t-on à l'ignorer ? Pourquoi les applaudissements de la fin de la conférence ne vont-ils pas successivement au maître de conférence (car enfin le fond du propos vient de lui), et à son interprète (car il est garant de la forme) ?
Est-ce encore une qualité professionnelle requise ? L'effacement total ?

Et puis d'abord, pourquoi cet effacement total ? Est-il total parce que nous pensons qu'il l'est ou parce qu'il est effectivement ? Est-ce parce que l'on considère que l'interprète ne fait que traduire est n'est qu'une courroie de transmission ? N'est-il pas plus que ça ? N'est-ce pas un effort immense de mettre rapidement des mots sur des concepts philosophiques, politiques, économiques venus d'une autre langue et ne reposant pas sur les mêmes bases lexicales que notre langue ? N'est-ce pas un effort incroyable de simplification et de reformulation ? L'interprète est un putain de boss, et on a tendance à l'oublier, dans la mesure ou par la définition de son rôle, il s'impose une absence de rôle, de par l'abolition de sa condition de sujet : c'est là que réside la tension paradoxale de son métier, ou nous, auditeurs avons choisi la solution la plus simple : l'oubli de sa présence, et le culte de sa diaphanéité translatrice (AHAHAHHAAHA comment je kiffe utiliser des termes compliqués qui veulent rien dire).


Alors, faîtes-moi plaisir, la prochaine fois que vous assisterez à une conférence traduite, ne vous levez pas simplement pour applaudir le maître de conférence. Pensez à celui qui sourit et applaudit à côté de lui.




Spéciale dédicace à Millie qui aurait voulu voir plus d'articles de réflexions personnelles dans ce blog : celui-là me semble en être un. Kitous.

lundi 1 décembre 2008

Le Nouvel Hebdo d'Alex Joubert

Salut les petits amis, profitant d'un bref répit dans mes studieuses agapes, je viens vous faire découvrir le nouveau buzz du moment, autrement plus intelligent que les inepties divertissantes toutefois d'un Mickael Vendetta.

Je veux parler d'Alex Joubert, éditorialiste et analyste politique, dont le site, que vous pouvez consulter ICI est plutôt bien foutu, complet, à la page, et pertinent.

Certes me direz-vous, mais pour des décodages politiques de l'actualité on a déjà les articles de fond du Monde, du Post, du Courrier International etc, en ligne où non.

Non, la petite particularité d'Alex Joubert est qu'il a 13 ans. Loin de moi la volonté primaire d'exciter votre curiosité malsaine, quoique naturelle, en éveillant en vous l'image fort intriguante du surdoué à savoir l'esprit d'un adulte expérimenté dans le corps d'un pitit nenfant. Il faut juste avouer qu'Alex Joubert déchire sa race comme futur journaliste.

Le Post lui a d'ailleurs consacré une brêve, commençant ainsi un probable buzz plus que mérité puisqu'il n'y a qu'à aller consulter le site pour s'apercevoir du sérieux, et de la pertinence des propos du jeune godelureau.
Quand à ses prestations face à la caméra, dans le cadre de son blog suscité "Le Nouvel Hebdo", elles sont plutôt convaincantes.

Mais voyez-plutôt son micro-reportage, sur le thème de l'élection controversée de Martine Aubry (la première) :





Voilà voilà, fin bon, en plus il est choupi.

Donc si vous voulez faire marcher un buzz intelligent, pour une fois, en plus d'apprendre des choses, le web-magazine d'Alex Joubert, c'est ici :

http://lenouvelhebdo.com/



Bisous les amis, à bientôt.
 
LP