vendredi 17 octobre 2008

Dilemnes.

J'ai fait quelques petites modifications dans la présentation de mon blog que je trouvais un poil trop froide, dites-moi ce que vous en pensez. Mais vous pouvez aussi aller vous faire foutre bien sûr.
Bref, me voilà bien emmerdé, oui. Mais par quoi me direz-vous ? Eh bien la réponse est très simple : par l'impératif d'un message par jour que je me suis fixé. Ah ah ah ah, le polisson, devez-vous vous dire, c'était trop beau, ce n'était que des paroles, de futiles promesses, de balivernes sans queue ni tête, ahlalala décidemment, quel fieffé margoulin que ce Pierro, qu'il brûle dévoré par les flammes de l'enfer lui et toute sa famille jusqu'à la 347ème génération etc etc.

Mais euh.

Nan mais attendez, vous ne vous rendez pas compte du problème je crois : se fixer l'impératif d'un mesage par jour, c'est aussi te manquer de respect, lectorat fidèle et assidu, quoique taciturne il est vrai. En effet, on ne trouve pas tous les jours de choses à dire, déjà que c'est très limite en temps normal mais alors avec la pression en plus je vous raconte pas le délire. Car bon c'est vrai que c'est très facile de rester dans le consensuel de vous parler de la crise financière, scandalisé que l'on est par les milliards des plans de sauvetages pendant que la moitié de la planète suce des grains de riz et caetera. Mais est-ce vraiment très intéressant ?
Alors certes on pourra dire : bah on s'en fout un peu du fond, c'est la forme qui est sympa, plus tu dis des conneries plus c'est cool et tout.
Alors je vous dirais : soit, lectorat.

Mais, réfléchissez-bien :

Préférez-vous ne pas manger de caca ou en manger tout les jours avec de la praline autour ?


La question se trouve peut-être dans les saintes écritures, qui sait ?


Pour clore cet article du jour (oui car bon finalement j'ai trouvé mon thème m'enfin je pourrais pas faire ça tous les jours hein haha oui), voici un joli petit fait divers pas glauque du tout :

"Une femme de 58 ans qui avait tué dans un accès de colère son fils handicapé de 26 ans a été condamnée vendredi à un an de prison avec sursis par la cour d'assises de la Meuse, à Bar-le-Duc, apprend-on auprès du parquet.

Il s'agit de la peine minimale que peut prononcer un jury criminel en France en cas de déclaration de culpabilité. L'avocat général avait demandé deux ans de prison avec sursis pour homicide involontaire sur personne vulnérable.

Dans leur verdict, les jurés de la Meuse ont requalifié les faits en coups volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner.

Maryse Pichon et son mari, qui travaillait dans la journée, s'occupaient seuls, à leur domicile de Commercy, de leur fils Guillaume, autiste de naissance, devenu aveugle à l'âge de 12 ans.

La mère l'a étranglé avec un foulard le 10 novembre 2004, un jour que le jeune homme, au comportement d'enfant, se montrait particulièrement irritant."


Il est donc toujours bon à savoir qu'au niveau juridique, étrangler une personne avec un foulard est un homicide involontaire.

Kitous les loupinous.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

En fait, c'était peut-être pas une si bonne idée que ça, un article par jour ^^

Stu a dit…

Je préfère le caca praliné.

Poulet le jeune a dit…

1) CAY UN SACRIFESSE BON DIEU

2) alors tu vas en manger ouais!

 
LP