lundi 3 novembre 2008

Le billet où l'on ne parle pas de Mickael Vendetta pour augmenter le traffic sur son blog.

Bonsoir lectorat dévoué, autant vous prévenir que j'ai envie de chier. Voilà, c'est dit, et sur ces paroles prophétiques, nous pouvons commencer le billet "qui se fait une fois tous les deux jours" j'ai cherché si le mot existait j'ai pas trouvé la prochaine fois un néologisme ou pas.

Je sais déjà plus ce que je voulais vous dire en commençant j'ai vraiment la tête dans le pâté. Ah si voilà, vu que j'ai remarqué que l'autre naze de Mickael Vendetta faisait de l'audimat et que mettre le mot-clé Michael Vendetta dans son blog attirait plein de monde j'ai décidé de réagir face à ça. Avant tout je veux préciser que je ne parlerais absolument pas de Mickaël Vendetta ici. Si vous voulez du Michaël Vendetta ce ne sera pas ici. Michael Vendeta n'a aucun espèce d'intêrét. Les rares choses pernitentes dites à propos du phénomène Michäel Vendetta l'ont déjà été, il n'y a donc aucun intérêt à revenir dessus. Bien.

Aujourd'hui, un grand pas de franchi dans ma courte vie. Après un mois d'hésitations, de ruminages, de peurs, de craintes infondées, j'ai enfin franchi le pas et cela m'a fait un très grand bien, comme quoi ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort : j'ai en effet fait le ménage chez moi. Oui, vous n'en avez surement rien à branler et mhh ske j'aime être grossier et impoli surtout à l'écrit oh oui à l'écrit c'est plus joli que c'est tout à fait légitime, je vous dois bien au moins un article avec un peu de contenu, c'est d'ailleurs ce que je vous avais promis... quand déjà ? ... une semaine ah ce que le temps passe vite nan mais c'est fou à peine l'appareil dentaire installé qu'on se retrouve avec trois descentes d'organes dans chaque bras.


Je vais donc, tout naturellement vous parler des élections présidentielles américaines, puisque vous n'êtes pas sans savoir que les élections sont imminentes la face du monde va peut être changer en fonction de l'élection d'un de ces deux candidats prêts à tout pour un morceau de pouvoir et de tarte au pruneau mais là n'est pas la question. Bon, vous allez me rétorquer - je le vois de là, oui de là. Non pas d'ici là c'est beaucoup trop loin, mais là oui, là effectivement c'est nickel. Bon. - que c'est facile de faire un article comme ça tout a été dit redit et reredit tant et tant de fois que tu ferais mieux de fermer ta gueule sale bâtard nan mais pour qui tu te prends ? un mec qui a des idées ? A ceux-là, et ils sont nombreux les raclures, je leur répondrais que oui c'est pas tout à fait faux mais en même temps on est encore en démocratie dans un putain d'état de droit O.K. ?

Bon.

L'affrontement entre Barack Obama et Sarah Palin a été sanglant jusqu'à la dernière goutte. Entre le président sortant et la chef de file du parti créationniste, ce fût apre et presque douloureux, tant les deux avaient des arguments pour un mandat. Faut-il rappeler les dates phares de cette campagne présidentielle ?
L'incroyable désaveu du parti républicain, mené par le vieux McCain plus conservateur que jamais, qui face à la furia populaire a du se retirer du scrutin, et la confirmation de la prépondérance du parti créationniste du gouverneur du Texas Sarah Palin (ex collistière de McCain lors de la présidentielle de 2008 où celle-ci avait sans doute compté pour beaucoup dans la défaite écrasante qu'avait subi le vieux routard à l'époque).

Obama-Palin. L'affiche avait ceci de dérangeante qu'elle opposait deux conceptions de la politiques, radicalement différentes. Les actes d'Obama qui certes a oeuvré pour la paix dans le monde tout au long de son mandat, se désengageant progressivement de tous les conflits dans lesquels les américains étaient empétrés, multipliant les voyages dans les zones défavorisés et allouant des fonds gigantesques, aggravant la situation économique du pays, sont équivoques. Car le Prix Nobel de la Paix reçu en 2011 pour couronner ces 3 années de lutte était sans doute le point culminant du mandat de Barack Obama et la phrase n'a pas de sens.

Car celui-ci n'a malheureusement pas su faire face au problème bien concret d'une Amérique au bord de l'agonie, économiquement parlant. La crise ne s'étant pas résorbée et la manière qu'Obama proposait pour sortir de la crise resait trop superficielle. Peu à peu, les USA ont réellement perdu pied face à la montée en puissance cette fois inexorable de la Chine et de la Russie, alors même que sa politique conciliatrice envers une Europe à nouveau coupée en deux était tenue en échec par l'ardeur du duo Poutine-Medvedev.
Certes la côte de confiance en Barack Obama s'est toujours maintenu à un niveau supérieur à 50% tout au long de son mandat tant son abégation et son ardeur à servir le pays ne pouvait laisser les américains de marbre. Mais les résultats escomptés n'étaient pas là, le niveau de vie de la population n'a pas progressé pendant la présidence Obama.

A l'inverse, Sarah Palin, élue gouverneur du Texas en 2009 a en 3 ans, fait passer le Texas au premier rang des états Américains, surpassant largement la Californie de Schwarzie empétrée dans ses problèmes avec une mafia mexicaine de plus en plus menacante. Grâce à une politique ultra conservatrice et sa politique de tolérance-zéro/laissez-faire total bref un retour au regeannisme plus qu'ardu, la croissance du Texas a décollé en flêche, propulsant celle qui était la risée du pays à une place plus sérieuse.

La question se pose aujourd'hui : les Américains doivent-ils renouveller leur confiance à Barack Obama qui, on l'a vu, n'a pas eu la solution miracle à la crise et à la perte de vitesse des USA, en sachant malgré tout que celui-ci a largement remonté la côté Américaine partout dans le monde et qu'une politique telle qu'il la mène obtient des résultats sur le très long-terme, c'est à dire au moins pendant ces futurs quatre ans... ?
Où doivent-ils parier sur Palin qui certes va sans doute réussir à tirer l'économie Américaine vers le haut, mais à quel prix : nouvelle chute de la côte Américaine, perte de sérieux au niveau international, isolationnisme et bellicisme obscurantiste ?

En bref, choisir entre le rêve d'une Amerique définitivement sortie de l'impasse, et la réalité : celle d'une Amérique qui ne va pas mieux et où seule une politique plus qu'intransigeante, plus que libérale pourrait relancer définitivement le pays ?


Le choix se fera dans 4 ans et un jour et sera sans doute le plus important que les Américains auront à faire. Une fois de plus.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Pas mal :)

Mais je pense que tu as une vision un peu trop idéalisée d'Obama :)

La voix du vide a dit…

Non jpense pas jpense que son élection va entraîner un choc de confiance, qu'il est effectivement pro-paix dans le monde mais que pr le reste ça va pas être le miracle.
kitous

Anonyme a dit…

Hum, hum, nan nan
T'as omis un paramètre.
Obama a maintenant 4 ans pour se faire assasiner. J'crois bien que les zozos qui veulent sa peau vont pas attendre.


et merci de m'avoir "défendue" sur facebook là, mais tu sais le gars qui me fait la morale, il a sûrement voté Mccain et il serait du genre à dire "obama n'est pas assez américain pour être élu"
Alors sa bonne parole j'men tape. J'ai un truc en plus que lui, c'est l'ouverture d'esprit. Donc laissons béton. Enfin j'ai envie de lui dire qu'il y a un juste milieu entre être contre l'avortement et voter pour un assassin. Mais jvé pas lui dire. La polémique est finie, les républicains sont finiiiiiiiiiiis.

 
LP